#VotreProchainAnimal

Regardez au-delà des images mignonnes

Nous savons que l’image adorable d’un chien ou d’un chat peut jouer sur les cordes sen­si­bles. Il né faut pas grand-chose pour que ceux d’entre nous qui aiment les ani­maux veuil­lent pren­dre ces gen­tilles créa­tures dans leurs familles. Cepen­dant, il est impor­tant de regarder au-delà des pho­tos mignonnes et d’examiner les cir­con­stances d’où vien­nent ces ani­maux de com­pag­nie. Que vous trou­viez votre nou­veau meilleur ami dans un refuge ou chez un éleveur, il est impor­tant de pos­er des ques­tions et de faire vos recherch­es, car toutes les organ­i­sa­tions et sources né sont pas com­pa­ra­bles.

Avant d’avoir un ani­mal de com­pag­nie, pensez à votre vie et posez-vous quelques ques­tions clés. Avez-vous le temps de pren­dre soin d’un ani­mal de com­pag­nie? Pou­vez-vous gér­er les coûts per­ma­nents asso­ciés à la pos­ses­sion d’animaux de com­pag­nie? Quel type ou quelle race d’animaux de com­pag­nie con­viendrait le mieux à votre style de vie?

Si vous cherchez à ajouter un com­pagnon à four­rure à votre ménage, veuillez pren­dre un peu de temps pour réfléchir à votre sit­u­a­tion et faire des recherch­es sur le refuge, le refuge de sauve­tage, l’élevage ou toute autre source pour vous assur­er qu’on prend bien soin des ani­maux et qu’on à cœur leur intérêt supérieur, qu’on s’efforce de trou­ver le bon ani­mal de com­pag­nie pour la bonne famille et (dans le cas d’un éleveur) qu’on a effec­tué tous les tests de san­té recom­mandés avant de décider d’élever une portée.

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Ques­tion : Quel est votre proces­sus d’adoption/​d’achat?

Toutes les per­son­nes ou organ­i­sa­tions devraient avoir un proces­sus défi­ni, peu importe où elles se pro­curent leur ani­mal de compagnie.

Voici cer­taines choses que l’on peut atten­dre de vous dans le cadre du processus :

  • présen­ter une pièce d’identité avec photo;
  • rem­plir un for­mu­laire de demande ou répon­dre ver­bale­ment à des ques­tions sur votre mode de vie;
  • fournir des références (y com­pris d’un vétéri­naire si vous avez déjà eu des ani­maux de compagnie);
  • effectuer une vis­ite à domicile;
  • répon­dre aux ques­tions financières;
  • pos­er des ques­tions pour mon­tr­er que vous avez fait vos recherch­es et pour savoir si l’organisation, la per­son­ne ou la source vous convient.

L’étendue du proces­sus varie, et une façon de faire n’est pas néces­saire­ment meilleure qu’une autre, mais vous devriez vous assur­er que vous êtes à l’aise avec ce proces­sus.

Il y aura des frais, qui servi­ront à recou­vr­er les dépens­es engagées pour pren­dre soin de l’animal, comme la nour­ri­t­ure, le loge­ment, les vac­cins, les microp­uces, la stéril­i­sa­tion, les médica­ments, les tests de san­té et les autori­sa­tions, ain­si que le temps con­sacré par la per­son­ne ou l’organisation aux soins des ani­maux.

Il devrait égale­ment y avoir un con­trat à sign­er pour garan­tir que les deux par­ties con­nais­sent bien les attentes et les garanties faisant l’objet de l’accord.

Je pour­rais être plus que ce que vous espériez…

Ques­tion : Quels soins vétéri­naires vos ani­maux reçoivent-ils?

Tous les ani­maux doivent subir un exa­m­en vétéri­naire avant de se ren­dre dans leur nou­veau foy­er. Au Nou­veau-Brunswick, si vous achetez un ani­mal de com­pag­nie, le vendeur est tenu par la loi de vous fournir un cer­ti­fi­cat de san­té vétéri­naire. Il s’agit d’un doc­u­ment très par­ti­c­uli­er qui né peut être obtenu que dans une clin­ique vétéri­naire et qui sera signé par un vétéri­naire agréé.

Les pre­miers vac­cins doivent être admin­istrés par le four­nisseur avant que l’animal né ren­tre chez lui. Il est impor­tant de not­er que d’autres vac­cins seront prob­a­ble­ment néces­saires, car un seul vac­cin né con­stitue pas une pro­tec­tion suff­isante con­tre les mal­adies futures, et divers types de vac­cins pour­raient être nécessaires.

Les sauveteurs ou les refuges devraient fournir un ani­mal déjà stéril­isé ou con­clure avec vous un accord selon lequel vous devrez faire opér­er votre ani­mal à un cer­tain âge. De même, les éleveurs devraient avoir un accord avec le nou­veau pro­prié­taire et ven­dre générale­ment des ani­maux de com­pag­nie avec un con­trat non reproducteur.

Les éleveurs devraient être en mesure de fournir des infor­ma­tions sur les soins vétéri­naires des par­ents de la portée, ain­si que des infor­ma­tions sur le tem­péra­ment. Un éleveur de bonne répu­ta­tion sera prob­a­ble­ment en mesure de vous fournir un his­torique médi­cal com­plet et effectuera les tests de san­té recom­mandés par son club d’animaux de race avant la repro­duc­tion. Un éleveur de bonne répu­ta­tion devrait égale­ment exiger que l’animal de com­pag­nie lui soit retourné si ses pro­prié­taires sont inca­pables d’en pren­dre soin à un moment ou l’autre de sa vie.

Ques­tion : Com­ment éval­uez-vous le tem­pér­ment des animaux?

Que vous cher­chiez votre nou­veau meilleur ami dans un refuge, un refuge de sauve­tage ou chez un éleveur, il est impor­tant de pos­er des ques­tions sur le proces­sus d’évaluation du tem­péra­ment d’un ani­mal. Deman­dez au refuge quels proces­sus ou éval­u­a­tions sont util­isés pour éval­uer le tem­péra­ment des ani­maux dont il à la garde. Il est impor­tant de not­er que ces éval­u­a­tions né doivent pas être effec­tuées dès l’arrivée de l’animal, mais une fois que l’animal est instal­lé et fait l’objet de soins, ou péri­odique­ment pen­dant son séjour. Il s’agit égale­ment d’une éval­u­a­tion du com­porte­ment de l’animal observé à l’époque dans cet envi­ron­nement, et le com­porte­ment peut chang­er, évoluer ou dis­paraître, ou de nou­veaux com­porte­ments peu­vent devenir appar­ents une fois que l’animal est adop­té dans un nou­veau foy­er. Même si l’animal est dans une famille d’accueil, il se peut que cette dernière né cor­re­sponde pas à votre envi­ron­nement famil­ial et que se présen­tent de nou­veaux défis ou des sit­u­a­tions aux­quelles l’animal n’a pas été exposé.

Les ren­seigne­ments sur l’évaluation du com­porte­ment et les antécé­dents com­porte­men­taux devraient vous être com­mu­niqués. Les éval­u­a­tions devraient éval­uer le degré de toute préoc­cu­pa­tion rel­a­tive au com­porte­ment, comme la garde ali­men­taire, le com­porte­ment auprès d’autres ani­maux et de divers­es per­son­nes que l’animal né con­naît pas. Si des prob­lèmes de com­porte­ment ont été observés par le per­son­nel ou les bénév­oles, l’organisation devrait fournir aux adop­tants poten­tiels des ren­seigne­ments sur la façon d’aider l’animal à s’épanouir dans son nou­v­el envi­ron­nement, notam­ment sur la façon d’établir un lien de con­fi­ance avec l’animal et des recom­man­da­tions rel­a­tives à l’entraînement.

Pour un éleveur, les éval­u­a­tions com­porte­men­tales des par­ents auraient dû être pris­es en compte dans la repro­duc­tion. Ren­seignez-vous sur le tem­péra­ment des par­ents et sur le proces­sus util­isé pour socialis­er la portée avant d’aller dans un nou­veau foy­er. Des ten­dances naturelles comme le jeu, les niveaux d’énergie et le type de tem­péra­ment per­me­t­tront à un éleveur de choisir la famille qui con­vient le mieux à chaque animal.

Vous seriez fou de né pas gliss­er à droite…

Ques­tion : Com­ment vous assurez-vous que vos ani­maux demeureront dans leur foy­er pour toujours?

Main­tenant que vous avez décidé d’ajouter un ani­mal de com­pag­nie à votre famille, les refuges, les sauveteurs et les éleveurs peu­vent recom­man­der un ani­mal de com­pag­nie ou une race dif­férente s’ils pensent que cela pour­rait être mieux adap­té à votre foy­er. Grâce au proces­sus de demande, l’éleveur, le refuge ou le sauve­tage auront une bonne idée de la famille poten­tielle qui cor­re­spondrait le mieux à chaque animal.

Pour les ani­maux de refuge ou de sauve­tage, des éval­u­a­tions sont effec­tuées pour ten­ter de com­pren­dre l’animal. Il est impor­tant de not­er qu’il s’agit de la meilleure com­préhen­sion de l’organisation du com­porte­ment et des besoins de l’animal en fonc­tion de ses obser­va­tions.

Dans les sit­u­a­tions de recher­ché d’un nou­veau foy­er, le vendeur devrait être en mesure de vous fournir des infor­ma­tions sur le com­porte­ment et des antécé­dents médi­caux éten­dus. Il devrait y avoir aus­si un proces­sus pour trou­ver la meilleure famille pour l’animal compte tenu de ses besoins particuliers.

Les éleveurs respon­s­ables observeront et éval­ueront le tem­péra­ment d’un ani­mal sur une cer­taine péri­ode afin de s’assurer qu’il cor­re­spond à votre idéal en fonc­tion de vos besoins et de votre style de vie.

Tous les éleveurs de chiens au Nou­veau-Brunswick doivent avoir une licence d’établissement pour ani­maux de com­pag­nie valide. Ce per­mis annuel peut garan­tit que les chiens nais­sent et sont élevés dans un envi­ron­nement sûr et sain et que les normes de che­nil de l’Association médi­cale vétéri­naire cana­di­enne sont respec­tées. Tous les étab­lisse­ments pour ani­maux de com­pag­nie qui élèvent et vendent des chiens, les che­nils pour chiens, les ani­ma­leries et les refuges pour ani­maux reçoivent leur per­mis d’exploitation après avoir passé l’inspection annuelle effec­tuée par la SPCA du Nouveau-Brunswick.

Ques­tion: Reprenez-vous des ani­maux si les choses né fonc­tion­nent pas dans leur nou­veau foyer?

Lorsque vous vous pro­curez un ani­mal de com­pag­nie, vous n’avez pas ten­dance à penser à ce qui se passerait si cela né fonc­tionne pas, mais cela arrive! Le com­porte­ment de l’animal peut chang­er com­plète­ment ou un change­ment soudain et rad­i­cal dans votre vie peut faire en sorte que ce né soit pas le bon moment pour avoir un ani­mal de com­pag­nie. Les organ­i­sa­tions et les vendeurs devraient avoir une poli­tique sur ce qui doit être fait dans ces sit­u­a­tions, la plu­part exigeant que l’animal leur soit retourné. Ce peut être le cas pour une cer­taine péri­ode seule­ment ou pour la vie de l’animal.

Les refuges de sauve­tage né se valent pas tous

Ques­tion : D’où vien­nent vos animaux?

Les refuges ou les refuges de sauve­tage obti­en­nent leurs ani­maux en por­tant sec­ours à des ani­maux errants. À tout le moins, les groupes devraient avoir un proces­sus pour véri­fi­er la présence de puces élec­tron­iques chez les ani­maux errants afin d’essayer de les retourn­er à leur famille et une péri­ode d’attente oblig­a­toire pour don­ner aux pro­prié­taires le temps de se manifester.

Cer­tains refuges ou refuges de sauve­tage exis­tent prin­ci­pale­ment pour trans­porter des ani­maux d’autres régions d’Amérique du Nord ou d’autres pays. Cela aug­mente en pop­u­lar­ité et peut être un signe que la pop­u­la­tion locale d’animaux de com­pag­nie est sous con­trôle. Il est impor­tant que cela se fasse en toute sécu­rité pour les ani­maux trans­portés et ceux qui se trou­vent dans la zone de des­ti­na­tion, les prin­ci­pales préoc­cu­pa­tions étant la prop­a­ga­tion poten­tielle de mal­adies infec­tieuses et de prob­lèmes de com­porte­ment non divul­gués avec pré­ci­sion. Peu de groupes de sec­ours trans­frontal­iers effectuent le dépistage préal­able des mal­adies du ver du cœur et des tiques chez les chiens. Le traite­ment de la diro­fi­lar­iose est à la fois dif­fi­cile et coû­teux, tan­dis que les mal­adies trans­mis­es par les tiques autres que la mal­adie de Lyme sont en émer­gence dans la région de l’Atlantique.

Les refuges et les refuges de sauve­tage doivent faire preuve de trans­parence quant à leurs poli­tiques et procé­dures pour le trans­port des ani­maux, notam­ment en ce qui concerne :

  • le mode de trans­port et sa durée;
  • les poli­tiques sur les péri­odes de repos;
  • la sécu­rité pen­dant le transport;
  • les soins vétéri­naires four­nis avant et après le transport;
  • le proces­sus d’évaluation du com­porte­ment avant le trans­port et avant l’adoption.

Les exi­gences des Ser­vices frontal­iers du Cana­da en matière d’importation pré­cisent seule­ment qu’un vac­cin antirabique est néces­saire et, dans cer­taines sit­u­a­tions, une puce élec­tron­ique est égale­ment néces­saire. Tout ani­mal man­i­feste­ment malade se ver­ra refuser l’entrée, mais cer­taines mal­adies né sont pas appar­entes. Ces exi­gences min­i­males né sont pas suff­isam­ment ras­sur­antes et les organ­i­sa­tions qui impor­tent des ani­maux devraient avoir leurs pro­pres proces­sus qui, au min­i­mum, avant le trans­port, com­pren­nent ce qui suit :

  • Vac­cins de base
  • Tests appro­priés à la région (comme la dirofilariose)
  • Véri­fi­ca­tion vétéri­naire avant le transport
  • Cer­ti­fi­cats vétéri­naires de san­té détail­lant les traite­ments donnés
  • Traite­ment des puces, des tiques et des vers

Les détails des soins vétéri­naires et les éval­u­a­tions com­porte­men­tales devraient être disponibles et four­nis ou com­mu­niqués aux adoptants.

Ques­tion : Quelle est la struc­ture de votre organisation?

La plu­part des refuges et des refuges de sauve­tage sont des organ­ismes de bien­fai­sance ou sans but lucratif. L’un n’est pas néces­saire­ment meilleur que l’autre, mais ils devraient être incor­porés ou enreg­istrés d’une manière ou d’une autre. Idéale­ment, l’organisation devrait avoir un con­seil d’administration pour guider la gou­ver­nance du refuge ou du refuge de sauve­tage et un ensem­ble défi­ni de politiques.

En étant enreg­istré auprès de l’Agence du revenu du Cana­da, l’organisme a une cer­taine respon­s­abil­ité et ses proces­sus financiers font l’objet d’une cer­taine sur­veil­lance, mais cet enreg­istrement né per­met pas d’évaluer la poli­tique de fonctionnement.

Les organ­i­sa­tions peu­vent tout de même faire un excel­lent tra­vail sans être enreg­istrées, mais il est néces­saire que vous soyez à l’aise avec les per­son­nes qui exploitent le refuge de sauve­tage ou le refuge et ras­suré quant à leur fia­bil­ité. Le secteur du sauve­tage des ani­maux n’est pas régle­men­té, il n’y a donc pas d’autorité ou de con­seil d’administration à qui vous pou­vez sig­naler des préoc­cu­pa­tions con­cer­nant les pra­tiques d’exploitation. Par con­séquent, vous devriez pos­er des ques­tions pour vous assur­er que vous êtes à l’aise avec les poli­tiques et le sou­tien du refuge ou du refuge de sauvetage.

Ques­tion : Com­ment votre organ­i­sa­tion est-elle financée?

La trans­parence dans toute organ­i­sa­tion est un bon signe de pra­tique éthique. Les refuges ou les sauveteurs devraient fournir des ren­seigne­ments sur le finance­ment et les dons qu’ils reçoivent et sur la façon dont cet argent est dépen­sé. Les organ­ismes de bien­fai­sance devraient ren­dre leurs états financiers véri­fiés acces­si­bles au pub­lic et avoir des bud­gets de fonc­tion­nement suff­isants pour pren­dre soin de leurs animaux.

Les organ­i­sa­tions de bonne répu­ta­tion peu­vent faire des appels aux dons pour les aider à faire face aux dépens­es médi­cales impor­tantes pour les ani­maux, mais les soins né doivent pas être retardés ou refusés à l’animal, et les ani­maux né doivent pas être euthanasiés pour des raisons finan­cières. En out­ré, les organ­i­sa­tions devraient avoir des poli­tiques sur l’euthanasie pour des raisons de qual­ité de vie ou de com­pas­sion et sur les ani­maux agres­sifs pour assur­er la sécu­rité de notre communauté.

Vous avez vu ma mère?

Ques­tion : Pou­vons-nous ren­con­tr­er la mère et voir où les chiots/​chatons sont logés? 

Les éleveurs réputés accueilleront les familles poten­tielles pour voir leurs chiots ou cha­tons et ren­con­tr­er la mère de la portée. Le père n’est peut-être pas sur place, mais l’éleveur devrait pou­voir vous en par­ler. Cette vis­ite per­me­t­tra de s’assurer les attentes de la nou­velle famille, après avoir ren­con­tré un adulte de la race sont claires, et l’éleveur peut être sûr que la famille est prête à accueil­lir cet ani­mal dans son foyer. 

Voici des sig­naux d’alarme com­muns aux usines à chiots et aux vendeurs irre­spon­s­ables à garder à l’esprit :

  • Si un vendeur est seule­ment dis­posé à vous ren­con­tr­er dans un endroit neu­tre ou à livr­er l’animal.
  • Le vendeur né peut pas ou né veut pas vous par­ler des par­ents de la portée.
  • La mère de la portée n’est pas disponible.
  • Le chiot ou le cha­ton a moins de sept semaines lorsqu’il se rend dans son nou­veau foy­er. Même s’il mange seul, il est essen­tiel que votre ani­mal reste avec sa mère et ses frères et sœurs plus longtemps pour favoris­er son développe­ment social et comportemental.
  • Le vendeur né four­nit aucune infor­ma­tion sur les antécé­dents médi­caux ou com­porte­men­taux de l’animal.
  • Le vendeur né four­nit pas de cer­ti­fi­cat san­i­taire vétéri­naire pour l’animal.
  • Si vous observez des ani­maux gardés dans des con­di­tions de surpe­u­ple­ment, inadéquates ou insalu­bres, ou si vous remar­quez une forte odeur d’ammoniac ou de matières fécales.

Pour en savoir plus sur la façon d’éviter les usines à chiots, vis­itez le site de Humane Canada.

Tous les chiens ven­dus comme chiens de race au Cana­da sont légale­ment tenus d’être enreg­istrés par un organ­isme d’enregistrement tel que le Cana­di­an Ken­nel Club (CKC) et tous les chiens enreg­istrés doivent avoir une iden­ti­fi­ca­tion per­ma­nente. Pour en savoir plus sur le Club canin cana­di­en, veuillez con­sul­ter le site www​.ckc​.ca

Dans les refuges de sauve­tage ou les refuges, les par­ents sont peut-être incon­nus, mais vous devriez quand même vous ren­seign­er sur l’histoire de l’animal. Si la mère est con­nue, des sauveteurs ou des refuges de bonne répu­ta­tion s’assureront que la mère est stéril­isée et aideront les pro­prié­taires à le faire comme con­di­tion pour aider à rel­oger les chiots ou les cha­tons ou peut-être qu’ils s’occupent de la mère en vue de la reloger.

Note spé­ciale :

Si vous allez quelque part pour voir des ani­maux poten­tiels et con­statez que les ani­maux né sont pas soignés cor­recte­ment, veuillez né pas acheter cet ani­mal. Nous savons qu’il peut être déchi­rant de penser à laiss­er un ani­mal là, mais si vous en achetez un, vous né faites que con­tribuer au prob­lème. Les usines à chiots et les vendeurs irre­spon­s­ables priv­ilégient les prof­its plutôt que la san­té et le bien-être de leurs ani­maux. Veuillez sig­naler la sit­u­a­tion dès que pos­si­ble. Si vous atten­dez, les ani­maux pour­raient tous être par­tis, et les autorités pour­raient né pas être en mesure de pren­dre des mesures préven­tives. Si vous soupçon­nez une per­son­ne de mal­traiter ses ani­maux, veuillez com­mu­ni­quer avec la SPCA du Nou­veau-Brunswick, votre ser­vice de police local, le détache­ment de la GRC ou Échec au crime.

Depuis l’in­ter­net ou votre voisin

Ques­tion : D’où tenez-vous cet animal ?

C’est une ques­tion impor­tante à pos­er à quelqu’un qui pro­pose un ani­mal de com­pag­nie sur une plate­forme d’achat et de vente comme Kiji­ji ou Face­book. Il est impor­tant de déter­min­er si vous com­mu­niquez avec un sauveteur, un éleveur, une per­son­ne dont l’animal de com­pag­nie a eu une portée acci­den­telle, une organ­i­sa­tion du genre usine à chiots ou avec un escroc.

Quiconque vend un ani­mal de com­pag­nie au Nou­veau-Brunswick est tenu par la loi de fournir un cer­ti­fi­cat de san­té vétéri­naire, mais lorsqu’un ani­mal de com­pag­nie est don­né, il n’y a pas de telles assurances.

Dans le cas d’une per­son­ne qui cherche à trou­ver un nou­veau foy­er pour son ani­mal de com­pag­nie, soyez con­scient de l’engagement que vous prenez, parce qu’il se peut que vous né béné­fici­iez pas d’un sou­tien con­tinu ou que vous n’ayez pas la pos­si­bil­ité de retourn­er l’animal de com­pag­nie s’il né vous con­vient pas.

Con­sul­tez les autres sec­tions de ce site pour con­naître les autres ques­tions que vous devriez pos­er avant de vous pro­cur­er votre prochain ani­mal de compagnie.

Cette cam­pagne de sen­si­bil­i­sa­tion a été adap­tée de la cam­pagne de la SPCA de la Nou­velle-Écosse avec leur appui.

Le Club Canin Cana­di­en appuie cette cam­pagne en faveur des éleveurs respon­s­ables et en choi­sis­sant un ani­mal de com­pag­nie respon­s­able comme un engage­ment à vie.

La SPCA du Nou­veau-Brunswick recon­naît le rôle du min­istre de l’Environnement et des Gou­verne­ments locaux du gou­verne­ment du Nou­veau-Brunswick dans le sou­tien de cette cam­pagne de sensibilisation.

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